Prévention et guérison des maladies respiratoires virales hivernales (grippe, covid-19, bronchiolite,…)
Tome I – Théorie, traitement et validation expérimentale
- 1 - Introduction
- 2 – Expérience fondatrice de la théorie et traitement Ikabroub
- 3 – Confirmation de notre théorie et de l’efficacité du traitement contre la covid-19, par l’Éthiopie et les Éthiopiens
- 4 – Confirmation par la Chine et la Nouvelle-Calédonie
- 5 – Confirmation de notre théorie par ses capacités explicatives et prédictives
- 6 – Mise en œuvre du traitement pour stopper la pandémie de covid-19 et les épidémies de grippe et de bronchiolite
1 – Introduction
La caractéristique principale de la grippe, de la covid-19 et des autres maladies respiratoires virales hivernales est d’être saisonnière : en France et dans les pays à climat tempéré, on peut attraper ces maladies en hiver, mais pas en été. Dans les pays inter-tropicaux comme l’Éthiopie, on peut les attraper pendant la saison des pluies, mais pas pendant la saison sèche. Cela veut dire que les conditions environnementales (physico-chimiques) qui règnent en été ou pendant la saison sèche nous empêchent de tomber malade, pour une raison inconnue et qui reste à découvrir.
Nous avons découvert cette raison : pendant la belle saison (été ou saison sèche), notre système respiratoire est protégé de ces maladies parce que nous inhalons sans le savoir, par la respiration ordinaire, des molécules organiques volatiles monoterpéniques que certaines plantes libèrent en permanence dans l’air ambiant pour leurs propres besoins, et qui ont des propriétés anti-virales, anti-bactériennes et anti-inflammatoires importantes. Nous avons appelé ces molécules des protégeants (par opposition aux polluants). Comme nous respirons le remède en permanence pendant cette saison, le traitement commence dès qu’un virus pénètre dans les voies respiratoires, et il continue jusqu’à élimination complète du virus, sans que nous ayons à faire autre chose que respirer pour continuer le traitement, et sans que nous ayons conscience d’avoir été infecté parce qu’aucun symptôme n’a eu le temps de se déclarer.
Pendant la mauvaise saison en revanche (hiver ou saison des pluies), notre système respiratoire n’est pas protégé de ces maladies parce qu’il n’y a pas de protégeants dans l’air ambiant : dans les pays à climat tempéré, les plantes qui produisent les protégeants sont mortes ou en hibernation et, dans les pays inter-tropicaux, les protégeants sont lessivés par la pluie.
Cette découverte nous a permis de mettre au point un traitement pour prévenir et guérir ces maladies. Le principe du traitement est très simple : mettre, en hiver (ou pendant la saison des pluies), la personne ou l’animal à protéger ou à guérir dans les conditions environnementales qui règnent en été et qui l’empêchent de tomber malade, en lui faisant inhaler des protégeants en quantité équivalente à ce que les plantes lui fournissent en été.
Cette approche présente des avantages considérables par rapport à l’approche vaccinale : le traitement est valable pour toutes les maladies respiratoires hivernales, quel que soit le virus, parce que les conditions environnementales spécifiques à l’été sont indépendantes du virus. Par ailleurs, il permet de protéger les personnes immuno-déprimées puisque le système immunitaire n’est pas sollicité. Enfin il est sans danger, parce qu’il est sans danger d’être en été plutôt qu’en hiver. Il est donc inutile de faire des tests de toxicité comme pour les autres traitements (vaccins, anti-viraux de synthèse, thérapie génique).
Au niveau collectif, le traitement permet de mettre en place une protection de troupeau (plus il y a de personnes qui suivent le traitement, moins les non-traitées risquent de contracter le virus), qui aboutit au même résultat que l’immunisation de troupeau, mais sans que personne ne doive être infecté ou vacciné. Cette protection de troupeau aboutit aussi au même résultat que la politique chinoise du zéro-covid (empêcher la transmission du virus), mais sans qu’il soit nécessaire de tester, pister et confiner qui que ce soit, ni d’arrêter les activités économiques et culturelles du pays.
La mise en œuvre du traitement au niveau individuel est très simple et peut se faire à l’aide d’un matériel courant et peu coûteux. Sa mise en œuvre au niveau collectif est plus complexe. Nous avons conçu des dispositifs capables de reproduire les conditions physico-chimiques propres à l’été dans les espaces clos utilisés pour les activités humaines (bureaux, commerces, salles de classe et de spectacle…) et pour l’élevage des animaux.
Pour prévenir les épidémies de maladies respiratoires virales saisonnières au niveau mondial, nous proposons de faire contrôler la qualité de l’air ambiant par les stations météo existantes, en leur faisant mesurer la concentration des principaux protégeants en plus des concentrations des principaux polluants et en leur faisant intégrer ces mesures dans les programmes de prévision météorologique. Cela permettrait de prévoir les endroits où les épidémies ont le plus de chances de se déclencher, et de prévenir leur déclenchement en mettant en place localement une protection de troupeau. Ce réseau de stations-météo pourrait être aussi alimenté en données par certains de nos dispositifs de protection, pour augmenter la finesse du maillage des territoires et la précision des prévisions.
2 – Expérience fondatrice de la théorie et traitement Ikabroub
Notre découverte est issue d’une expérience que nous menons sur nous-mêmes depuis septembre 2016. Le but initial de cette expérience était très modeste : diminuer autant que possible les symptômes désagréables des maladies respiratoires hivernales (toux, nez bouché, sécrétions). Sachant que l’eucalyptol était censé diminuer les symptômes de certaines de ces maladies dont la grippe, nous avons décidé de faire des inhalations d’huiles essentielles d’eucalyptus radié et de ravintsara, qui contiennent beaucoup d’eucalyptol et n’ont pas de contre-indication en inhalation. En commençant le traitement dès les premiers symptômes annonciateurs et en jouant, par essais / erreurs, sur les différents paramètres de l’inhalation (mode d’inhalation, durée et espacement), nous avons constaté, à notre grande stupéfaction, qu’il était possible non seulement de diminuer les symptômes désagréables, mais même de les empêcher complètement d’apparaître et d’en rester aux symptômes annonciateurs, jusqu’à une guérison complète au bout de quelques jours – et ceci pour toutes les maladies respiratoires hivernales auxquelles nous avons été confrontés au cours de l’expérience, d’abord la grippe et quelques autres maladies plus bénignes, puis la covid-19, encore inconnue en 2016. Nous avons appelé traitement Ikabroub le traitement mis en œuvre avec ce lot de paramètres particuliers.
Notre expérience a ainsi montré que le mélange d’huiles essentielles utilisées (eucalyptus radié et ravintsara) contient un ensemble de protégeants qui suffisent à prévenir et guérir ces maladies. En recherchant les plantes communes en France qui produisent en quantité importante les principales molécules du mélange, nous avons trouvé un cocktail d’une dizaine de plantes qui peuvent nous empêcher de tomber malade en été, et sont donc responsables de la saisonnalité de ces maladies dans notre pays.
Notre expérience a montré l’efficacité du traitement contre les plus dangereuses de ces maladies (grippe et covid-19), mais à petite échelle seulement (2 personnes sur 6 ans et demi). Nous avons pu confirmer son efficacité contre la covid-19 à grande échelle (plus de cent millions de personnes sur trois ans), à partir des données épidémiologiques sur l’Éthiopie, la Nouvelle Calédonie et la Chine. Son efficacité à grande échelle contre la grippe et les autres maladies respiratoires virales hivernales ne fait guère de doute, puisque l’environnement physico-chimique propre à l’été est indépendant du virus, mais cela restera à confirmer expérimentalement pour chaque maladie. Le plus urgent en France serait la bronchiolite, que nous n’avons pas pu tester, et la grippe aviaire. Pour celle-ci, une réponse pourrait être obtenue rapidement avec l’aide des éleveurs, ce qui permettrait en même temps d’améliorer le traitement et sa compréhension à partir d’expériences sur les animaux et non sur l’homme.
3 – Confirmation de notre théorie et de l’efficacité du traitement contre la covid-19, par l’Éthiopie et les Éthiopiens
Une grande partie de l’Éthiopie est plantée d’eucalyptus, et sa capitale Addis-Abeba est littéralement plongée dans une forêt d’eucalyptus. Or, la pandémie de covid-19 a été tout à fait marginale dans ce pays : 2000 morts seulement en 2020 pour une population de 117 millions d’habitants, soit dix fois moins que les accidents de la circulation. L’Éthiopie est donc un excellent laboratoire pour vérifier notre théorie.
Et de fait, lorsqu’on examine la répartition dans le temps de ces 2000 morts par covid-19, on constate que la courbe des décès a globalement la même forme que la courbe de la pluviométrie, et qu’elle présente les mêmes maxima pendant les périodes pluvieuses avec une à deux semaines de retard. Par ailleurs, cette même courbe indique que, pendant la saison sèche, il n’y a pratiquement pas de morts. Cela veut dire que, lorsque les Éthiopiens respirent en permanence les COV (composés organiques volatils) d’eucalyptus, ils sont protégés à 100 % de la covid-19. Et comme le traitement Ikabroub revient, grosso modo, à inhaler en quelques minutes ce qu’un Éthiopien inhale en quelques heures par la respiration normale pendant la saison sèche, cela veut dire aussi que le traitement est efficace à 100 % contre la covid-19. L’Éthiopie et les Éthiopiens fournissent ainsi une confirmation à très grande échelle de la validité de notre théorie et de l’efficacité du traitement contre cette maladie.
Promeneur se protégeant (sans le savoir, comme M. Jourdain) de la covid-19 et autres maladies respiratoires, en respirant les effluves d’eucalyptus sur les hauteurs d’Entoto. Église Entoto Mariam, Addis-Abeba, Éthiopie.
4 – Confirmation par la Chine et la Nouvelle-Calédonie
Le rôle majeur des COV d’eucalyptus et arbres apparentés dans la protection contre la covid-19 est confirmé par la Chine et la Nouvelle-Calédonie. En Chine, il y a eu 4600 morts seulement en 2020, pour une population de 1,4 milliards d’habitants. Il faut rappeler que, pendant la grippe espagnole de 1918, il y avait eu entre 4 et 9 millions de morts, pour une population de 450 millions d’habitants. A l’époque, il n’y avait pas d’eucalyptus et la couverture en forêts était très faible, de l’ordre de 5 %. A partir de 1949, le gouvernement chinois a lancé une campagne de reforestation massive, en bonne partie à base d’eucalyptus, de sorte que les Chinois sont maintenant protégés contre les virus respiratoires aussi efficacement que les Éthiopiens – sauf dans les mégapoles, et en particulier Wuhan qui est plongée dans une « forêt de lacs » et non d’eucalyptus, ce qui la rend beaucoup plus susceptible que d’autres d’être le point de départ d’une épidémie.
En Nouvelle-Calédonie, l’arbre protecteur est le niaouli, qui est de la même famille que l’eucalyptus. Il n’y a eu aucun mort depuis le début de la pandémie en mars 2020 jusqu’au début du mois de septembre 2021, soit pendant plus d’un an et demi. La Chine et la Nouvelle-Calédonie confirment ainsi, en plus de l’Éthiopie, la validité de notre théorie et l’efficacité du traitement.
Malheureusement, malgré ce sans faute dû aux niaoulis, le gouvernement de Nouvelle-Calédonie a voté, le 3 septembre 2021, l’obligation vaccinale pour toute la population et a lancé une campagne massive d’injections expérimentales à ARNm. Ce fut une très mauvaise idée : un premier décès est survenu une semaine plus tard et une flambée de décès a suivi. Au 15 octobre, il y avait déjà 236 morts, sur une population de 271,000 habitants. La petite taille de l’archipel et le très petit nombre d’acteurs nous ont permis de déterminer les raisons principales de cet échec tragique.
5 – Confirmation de notre théorie par ses capacités explicatives et prédictives
Notre théorie nous a permis d’expliquer des événements passés et inexpliqués jusqu’à présent, aussi bien positifs (« miracle de Moutier » en Suisse, « miracle sanitaire » du Magal de Touba au Sénégal) que négatifs (« bombe atomique » du rassemblement évangélique de Mulhouse, catastrophe de Bergame en Italie, infections massives sur des porte-avions et bateaux au long cours). Par ailleurs, en examinant d’autres pays ayant peu ou pas de morts par covid-19 en 2020, on a pu découvrir, à partir de leurs données phytogéographiques et météorologiques, les plantes responsables de ces bonnes performances.
Notre théorie nous a permis aussi de prédire des événements à venir : pics d’infections et de décès dans un pays pendant les périodes de pluies diluviennes habituelles (Guinée et Japon au mois d’août, par exemple), ainsi que des tendances après des périodes de pluie ou de beau temps inhabituelles : augmentation du nombre de cas et de décès une à deux semaines après une période de fortes pluies – et inversement, diminution après une période de beau temps prolongé.
6 – Mise en œuvre du traitement pour stopper la pandémie de covid-19 et les épidémies de grippe et de bronchiolite
Utilisé en parallèle avec les mesures d’hygiène ordinaires (lavage des mains, du visage et du nez), le traitement Ikabroub, appliqué par chacun à la maison comme une mesure d’hygiène supplémentaire, en mode curatif ou préventif selon qu’il est infecté ou pas, devrait permettre de stopper les épidémies de covid-19, grippe et bronchiolite actuelles et, plus généralement, toute épidémie de maladie respiratoire virale hivernale. Si chaque famille était équipée d’un kit de base, il serait possible d’atteindre la protection de troupeau en quelques jours contre n’importe laquelle de ces maladies, sans que quiconque doive être infecté ou vacciné.
Le traitement permettrait ainsi de retrouver une vie normale – sans masques, sans les mesures contraignantes inventées à l’occasion de la covid-19 qui ont causé des dégâts psychologiques et économiques considérables, sans tests PCR, sans passe sanitaire et surtout sans injections expérimentales à ARNm, qui sont tout sauf anodines : selon le site officiel EudraVigilance de l’UE elles avaient, au 11 septembre 2021, déjà causé officiellement la mort de plus de 25,000 personnes dans l’UE et plus d’un million de séquelles sérieuses, pour une population de 440 millions d’habitants.