Prévention et guérison des maladies respiratoires virales hivernales (grippe, covid-19, bronchiolite,…)
Tome II – Raisons de l’Efficacité du Traitement Ikabroub et de l’Inefficacité des Vaccins anti-Covid. Extension à la Grippe Aviaire
7 – Modèle proposé pour le SARS-CoV-2 : virus enveloppé bénin à virulence variable
Il est impossible d’expliquer la très grande diversité des symptômes de la covid-19 et les observations souvent contradictoires qui ont été faites, avec le modèle simple « un homme, un virus ». On propose un modèle plus réaliste « un homme, un virus dans leur environnement » où l’environnement est pris en compte via un paramètre de virulence compris entre 0 et 1 et fonction de la quantité de protégeants à un instant et un endroit donnés. On montre, à partir des données sur les marins du Charles de Gaulle, que le SARS-CoV-2 seul est bénin, i.e. il ne lyse pas les cellules qu’il infecte et le système immunitaire acquis n’est pas appelé. Il ne peut l’être que suite à une surinfection bactérienne. Il n’y a donc pas d’immunisation individuelle après infection par le virus seul et par conséquent pas d’immunité collective, et vacciner contre le virus n’a pas de sens. On montre, sur le cas d’Israël, que la diminution du nombre de morts après « vaccination » au printemps 2021 a été attribuée à tort au « vaccin » alors qu’elle était due à l’augmentation du taux de protégeants pendant cette période. De même, l’augmentation du nombre de morts constatée à partir d’octobre 2021 a été attribuée à tort au variant delta, alors qu’elle était due à la canicule estivale en Israël, qui provoque une diminution du taux de protégeants avec un pic à la mi-septembre. Il s’agit ici de l’erreur de logique classique en médecine « post hoc, ergo propter hoc » (après ça, donc à cause de ça) dénoncée il y a plus de 150 ans par Claude Bernard.
La seule protection sûre contre le SARS-CoV-2 est son élimination par les protégeants, de sorte que le traitement Ikabroub doit toujours être utilisé comme traitement de première intention de la covid-19. En l’absence de protégeants, tant que le virus reste cantonné dans la partie haute du système respiratoire, il n’est pas dangereux seul (c’est-à-dire en l’absence de surinfection bactérienne) parce qu’il finit éventuellement par être éliminé mécaniquement. En revanche, dès qu’il atteint les alvéoles pulmonaires, bien que bénin au niveau cellulaire, il peut devenir mortel au niveau de l’organisme par épaississement progressif de la paroi à travers laquelle se font les échanges gazeux, aboutissant à un étouffement progressif comme si l’on escaladait une montagne. Il devient effectivement mortel (hypoxémie silencieuse) ou pas (covid longue) selon que beaucoup ou peu d’acini ont été infectés (il y a 30,000 acini dans les poumons).
Lorsqu’il y a surinfection bactérienne, le système immunitaire acquis est appelé et met en place une défense contre la bactérie de surinfection. Mais sa mise en place est lente (une semaine au minimum), de sorte que le traitement Ikabroub doit être complété par un antibiotique, combiné à un anti-inflammatoire pour prévenir un emballement possible du système immunitaire (observé dans de nombreux cas de covid).
On montre, à partir de la guérison des marins du Charles de Gaulle après leur retour à Toulon en avril 2020, que le traitement Ikabroub lui-même peut fournir ce traitement complémentaire contre certaines surinfections bactériennes, grâce aux propriétés antibactériennes et anti-inflammatoires de l’eucalyptol et de certains autres protégeants. En effet, ces marins n’ont reçu pour tout traitement que du paracétamol contre la fièvre, comme les malades de Bergame, mais ils ont tous guéri – même ceux qui avaient une surinfection bactérienne – alors que les malades de Bergame mouraient par milliers pas très loin et à peu près au même moment. Leur guérison ne peut donc être due qu’aux protégeants, qui étaient présents en quantité importante à Toulon parce que l’eucalyptus est très commun dans le Var et qu’il a fait beau pendant le confinement des marins dans la région, alors qu’il n’y avait pas de protégeants à Bergame à cause du temps pluvieux.
Lorsque la bactérie de surinfection est résistante à l’eucalyptol (i.e. si l’état du malade ne s’améliore pas au bout de trois ou quatre jours du traitement Ikabroub), il faut compléter le traitement avec un autre antibiotique (azithromycine, ampicilline, doxycycline, etc.). La doxa qui affirme que donner un antibiotique pour une maladie virale ne sert à rien, est fausse pour la covid-19, à cause du caractère bénin du SARS-CoV-2. Parmi les marins du Charles de Gaulle infectés par la covid, nous montrons que les trois-quarts avaient une surinfection bactérienne. Si les malades de Bergame avaient été renvoyés chez eux avec un antibiotique et un anti-inflammatoire contre les bactéries de surinfection respiratoire au lieu de paracétamol contre la fièvre, une bonne partie des malades aurait sans doute été sauvée.
8 – Mécanisme chimique de destruction des virus et mécanisme physique d’écrantage
On propose ensuite deux mécanismes pour expliquer l’action antivirale in pulmo des protégeants sur les virus respiratoires. L’un est chimique et destructif, et s’applique aux virus enveloppés (virus de la grippe, de la covid-19, de la bronchiolite, etc.). Il consiste en l’inactivation du virion par les molécules de protégeants, après entrée en contact de ces molécules avec la membrane lipidique du virion dans le système respiratoire, suivie par l’élimination du virion inactivé par les cellules ciliées ou les macrophages des alvéoles pulmonaires. L’autre mécanisme est physique et non-destructif et s’applique à tous les virus, enveloppés ou non. Il consiste en l’écrantage du virion par la formation d’une couche mono-moléculaire d’eucalyptol à la surface des alvéoles pulmonaires par liaisons hydrogène. Cette couche empêche le virion d’entrer en contact avec la paroi des alvéoles tout en laissant passer les petites molécules de la respiration (O2, CO2 et H2O). Grâce aux liaisons hydrogène, cette couche a une vitesse de résorption faible. En mode préventif (2 inhalations par jour, une avant de sortir de la maison l’autre en rentrant), la première inhalation crée une couche protectrice dans les poumons qui protège en tout ou partie pendant la sortie, la seconde détruit les virus résiduels quand on rentre. On suggère que les gros fumeurs sont protégés par le même mécanisme d’écrantage, avec la nicotine (autre molécule polaire) mais moins efficacement parce que la nicotine ne détruit pas les virus respiratoires.
9 – Application au traitement des grippes animales
Jusqu’à présent, la seule façon d’éviter la propagation des grippes animales a consisté à exterminer les animaux dans un rayon de plusieurs kilomètres autour d’un élevage infecté, ce qui aboutit chaque année à des dizaines, voire des centaines de millions d’animaux sacrifiés dans le monde.
Les mécanismes physico-chimiques impliqués dans la respiration étant les mêmes pour tous les animaux terrestres, il paraît logique de supposer que le traitement Ikabroub, dont nous avons montré l’efficacité contre la grippe humaine, doit être efficace aussi contre les grippes animales et en particulier la grippe aviaire. Cette hypothèse est confortée par le fait qu’en France, la grippe aviaire se manifeste d’abord dans les régions côtières, sur des oiseaux migrateurs et des oiseaux aquatiques grégaires qui ont été ou sont dans des zones où il y a pas ou peu de protégeants. Elle se propage en grande partie dans les élevages industriels, sur des animaux qui se trouvent dans des espaces clos ou peu aérés à grande densité de population, où il y a une très faible quantité de protégeants par individu. Ces deux observations correspondent aux deux cas de virulence maximale que nous avons découverts pour les maladies respiratoires humaines, à savoir les bateaux en pleine mer et les zones à forte densité de population.
Contrairement à la grippe humaine, l’efficacité du traitement contre les grippes animales n’a pas encore été vérifiée expérimentalement. Nous avons conçu des dispositifs de protection adaptés aux animaux d’élevage, aussi bien en batterie qu’en plein air, qui permettront de répondre à la question. Nous proposons aux éleveurs de tester le traitement avec nos dispositifs, en mode curatif sur les animaux des élevages infectés et condamnés, et en mode préventif sur les autres. Si le traitement arrive à guérir les animaux infectés ou à empêcher les autres de tomber malades, cela permettra aux éleveurs d’éviter l’abattage de tout ou partie de leurs bêtes. Cela permettra en même temps de disposer de données précises sur la toxicité du traitement à des doses élevées, qu’il ne serait pas possible de tester sur l’homme.
10 – Conclusion
On peut espérer que les inhalations de protégeants permettront de résoudre définitivement le problème général des maladies respiratoires virales hivernales (grippe, covid-19, bronchiolite, grippe aviaire…), de même que la vitamine C a permis de résoudre définitivement le problème du scorbut. En effet, dans les deux cas, l’origine de la maladie est une carence (en vitamine C pour le scorbut, en protégeants pour les maladies respiratoires hivernales). Nous avons montré l’efficacité du traitement à petite échelle pour la grippe et à grande échelle pour la covid-19, il reste à le vérifier à grande échelle pour toutes les maladies hivernales.
Pour le cas particulier de la covid-19, l’approche gouvernementale (paracétamol puis injections expérimentales à ARNm) a été erronée du début à la fin et n’a abouti qu’à provoquer un grand nombre de morts et de handicapés. Les traitements à base d’hydroxychloroquine et d’ivermectine quant à eux n’ont pas d’action in pulmo sur le virus et n’auraient pas pu guérir les malades atteints d’hypoxémie silencieuse ni protéger de la covid longue, mais ils auraient pu éviter bon nombre de décès par surinfection bactérienne grâce à l’antibiotique associé (azithromycine) et aux propriétés anti-inflammatoires de ces deux médicaments. Cela montre que, pour remettre le système de santé au service de la population et non de financiers ou de politiciens incompétents dans le domaine, il faudrait remettre le serment d’Hippocrate au centre de la profession médicale et permettre aux seuls médecins de soigner leurs malades, conformément à ce serment.
En ce qui concerne les vaccins, notre étude suggère (et rappelle) qu’ils ne peuvent pas être une panacée universelle. En effet, nous avons montré, pour la covid-19, que ni les vaccins classiques, ni les injections à ARNm ne peuvent marcher, parce que le SARS-CoV-2 est bénin et qu’il est localisé in pulmo et non in vivo. Dans le chapitre de conclusion, nous suggérons que si le virus n’avait pas été bénin et que la vaccination avait marché, le remède aurait pu être pire que le mal parce que le vaccin aurait pu dégrader irréversiblement les capacités respiratoires en détruisant certaines cellules indispensables à la respiration.
Enfin, pour empêcher certaines institutions ou intérêts privés de provoquer des peurs irrationnelles dans la population au sujet des virus, nous proposons de revenir au point de vue de Claude Bernard, Galtier et Pasteur : les virus sont des molécules biologiques, pas des êtres vivants. Cette approche permet beaucoup moins de manipulations, et elle nous paraît plus conforme à la réalité parce qu’elle résout une aporie qui mine la virologie, et qu’on peut résumer par « les virus ne sont pas vivants, mais ils font tout pour rester en vie ». Dans le modèle proposé, un virus est une molécule biologique avec son mode de reproduction intégré, et il sert à transférer une fonction biologique entre individus ou espèces ; un virus ne mute pas, c’est l’individu infecté qui le fait muter afin de minimiser l’énergie nécessaire pour le répliquer, et un variant est une étape intermédiaire dans l’adaptation du virus de l’espèce donneuse à l’espèce receveuse. Dans ce cadre, la fonction des virus respiratoires hivernaux semble être d’activer certaines bactéries respiratoires.